TU Imprévisibilité

Le Master TRANS, le collectif microsillons et les médiatrices du TU, Laurence Wagner et Hélène Mateev, ont travaillé à une proposition qui ouvre un cadre de discussion sur l’importance de l’imprévisibibilité dans les processus artistiques et pédagogiques. Une série de cinq rencontres a ainsi eu lieu entre mars 2015 et juin 2016 où des intervenant-e-s spécifiquement engagé-e-s dans des pratiques collaboratives ou sociales et/ou dans des pratiques de médiation, tels que Carmen Mörsch, Nora Sternfeld, Wochenklausur (Martina Reuter, Karl Seiringer), Janna Graham, et Pablo Helguera, ont été invité à discuter des enjeux politiques et éthiques liés à la mise en place de ce type de processus. Comment des pratiques aux résultats indéterminés peuvent-elles être compatibles avec les exigences des institutions culturelles ? Quelle place peut occuper l’imprévisibilité dans une société où la maîtrise du risque est une préoccupation majeure ?